Beta

Modulation RCA

Le résultat est époustouflant, c’est un autre monde. Dès les premières notes de musique, dès les premières secondes alors même que l’amplificateur à tubes était froid et ceci est très surprenant, déjà se révélait à la fois une vérité des instruments et des voix, une spatialisation ultra précise, un ordre même dans les compositions les plus complexes juxtaposant de multiples sonorités et surtout ce qui compte le plus pour moi, une restitution des timbres bouleversante.

Pour l’anecdote, mon épouse et moi nous sommes pris la main pour partager notre émotion, tant certains passages musicaux nous ont émus.

Tout sonne juste et jamais la droiture ne vient contredire la richesse des timbres. L’émotion est là, tout le temps.

Autre chose, le caractère « fatiguant » des Kelinac s’est estompé. Si je devais constater un point perfectible sur mon système avec ce câble, c’est peut-être des graves trop discrets sur certains passages (ex : Toccata et fugue d’André Isoir) mais franchement c’est totalement au bénéfice des timbres, sur les médiums notamment, de l’ordre et du détail. Ce câble a considérablement « équilibré » mon système, me semble-t-il. Il devient subtil comme jamais auparavant. Je rejoins votre métaphore : c’est un bon vin qu’il faut savoir déguster. J’en partage ce soir la saveur avec vous.

Modulation RCA

Les câbles Esprit Beta sont un régal. J’ai l’impression d’avoir upgradé mon ampli, le gain est significatif sur tous les plans… Spatialisation du son, basses plus fermes, tenues et "assumées".

Sur le disque de Agnès Obel, la voix ressort d’une manière incroyable et rend vraiment hommage à la qualité de l’enregistrement. Quant aux aigus, ils se sont adoucis au fur et à mesure du rodage. Des détails, gommés auparavant, apparaissent désormais (harmoniques, frottés des cordes, …). Il y a un vrai grain et une présence “physique”.

Haut-Parleur (HP)

Je faisais partie des « câblo sceptiques » endurcis, considérant que le marketing avait pris le dessus pour alléger nos portefeuilles plutôt que prendre soin de nos oreilles. J’ai toutefois suivi vos conseils et après une dizaine d’heures d’écoute seulement avec mes nouveaux câbles je dois reconnaître que c’est la révolution. Un plaisir d’écoute que je n’avais jamais connu avec mon ensemble, des live réalistes, la découverte des subtilités des arrangements studio. Présence, détails et musicalité je suis encore bluffé à chaque mise en route. Vraiment mille mercis de m’avoir fait franchir ce pas que je refusais de faire. A bientôt pour la suite donc…

Haut-Parleur (HP)

Exceptionnel pour le prix.

Haut-Parleur (HP)

Les câbles Esprit Beta sont un régal.

J’ai l’impression d’avoir upgradé mon ampli, le gain est significatif sur tous les plans … Spatialisation du son, basses plus fermes, tenues et « assumées ». Sur le disque de Agnès Obel, la voix ressort d’une manière incroyable et rend vraiment hommage à la qualité de l’enregistrement. Quant aux aigus, ils se sont adoucis au fur et à mesure du rodage.

Des détails, gommés auparavant, apparaissent désormais (harmoniques, frottés des cordes, …). Il y a un vrai grain et une présence « physique ».

Haut-Parleur (HP)

Comme suite à l’installation de mes nouveaux câbles HP, voici quelques commentaires d’écoute :

Jazz :
Oscar Peterson, Count Basie (p), Freddie Green (g), Ray Brown (b), Louie Bellson (d) Universal 1974 – 1998
Spectre sonore élargi,
Aigus plus précis : balais sur caisse claire enfin pleinement audibles
Piano plus percussif
Basses beaucoup plus « charnues » et audibles

Chœur :
Coppini, Monteverdi, Ruffo par Le Poème Harmonique, dir. Vincent Dumestre 2003.
Les voix basses ressortent sans écraser, dissonances bien mieux rendues et efficaces dans l’harmonie, on entend mieux leur intérêt. Les timbres des solistes plus audibles.

Symphonie :
Beethoven, 7ème, Carlos Kleiber, concert public 1982, allegretto :
La vache ! Ça me faisait déjà pleurer, mais là, je suis par terre : les plans sonores se découpent encore mieux. C’est comme si les murs de mon lieu d’écoute s’écartaient.
On entend le bois des contrebasses.

Beethoven, 5ème concerto, Léo Fleischer, George Szell 1961, concert public ; adagio puis rondo allegro Final :
Que n’ai-je cette version en vinyle !
Très grande douceur, meilleur rendu, richesse des nuances. L’orchestre est très joliment fondu en fond de tableau sonore ainsi que dans les mesures où il est seul.
Duo flûte hautbois magnifiquement rendu.
Rondo final très équilibré : nuances, fondu des sons pour n’en produire qu’un lorsqu’il le faut.

Opéra
Aïda, « O Celeste Aïda », Jussi Björling :
On entend tout, c’est surtout le timbre qui est mis en valeur, même sa technique inouïe est mieux audible (je suis chanteur…)

Bon j’arrête là : vous avez compris que je suis ravi par cette acquisition.